Les V.E et leur histoire
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Les V.E et leur histoire
Bonjour !
Pour commencer sur le sujet très vaste de l'Histoire des véhicules électriques
je vous poste ci-dessous un résumé que j'avais écrit il y a quelques années
(il est très loin d'être complet mais à l'époque je n'avais pas beaucoup d'éléments)
Pour commencer sur le sujet très vaste de l'Histoire des véhicules électriques
je vous poste ci-dessous un résumé que j'avais écrit il y a quelques années
(il est très loin d'être complet mais à l'époque je n'avais pas beaucoup d'éléments)
L'Art des choix
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Je constate avec plaisir que vous vous intérressez aussi à l'Histoire....
alors voici quelques photos en vrac :
le stand GALLIA électrique au Salon de 1903:
BAKER électrique 1912:
Quant à Krieger ,il faudrait faire un sujet spécialement pour ce constructeur!
puisque nous le retrouvons au début du siècle dernier :
....puis dans les années 20:
....et ,enfin, pendant la seconde guerre mondiale :
avec cette LICORNE (coach 164) électrifiée
l'un des derniers exemplaires existants a été présentée à Rétromobile:
La suite bientôt !
JP de NIMES
alors voici quelques photos en vrac :
le stand GALLIA électrique au Salon de 1903:
BAKER électrique 1912:
Quant à Krieger ,il faudrait faire un sujet spécialement pour ce constructeur!
puisque nous le retrouvons au début du siècle dernier :
....puis dans les années 20:
....et ,enfin, pendant la seconde guerre mondiale :
avec cette LICORNE (coach 164) électrifiée
l'un des derniers exemplaires existants a été présentée à Rétromobile:
La suite bientôt !
JP de NIMES
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Re bonjour !!!
Pendant la seconde guerre mondiales, de très nombreux fabricants ou artisans se sont mis au véhicule électrique:
inconnu (j'ai perdu le nom de ce cyclecar électrique daté de 1941 !):
Le dessin de l'électra de Pierre FAURE en 1940:
Une électrique BREGUET (ne serait-ce pas l'Electra de P. FAURE ????) en 1942 en compagnie d'une autre électrique
fabriquée ,elle, par Paul ARZENS
décidemment , Paul ARZENS avait un joli coup de crayon !
voici son "OEUF" électrique en 1943:
de la même époque une JOURDAIN-MONNERET / l'AUTELEC:
a+ pour la suite !
JP de NIMES
Pendant la seconde guerre mondiales, de très nombreux fabricants ou artisans se sont mis au véhicule électrique:
inconnu (j'ai perdu le nom de ce cyclecar électrique daté de 1941 !):
Le dessin de l'électra de Pierre FAURE en 1940:
Une électrique BREGUET (ne serait-ce pas l'Electra de P. FAURE ????) en 1942 en compagnie d'une autre électrique
fabriquée ,elle, par Paul ARZENS
décidemment , Paul ARZENS avait un joli coup de crayon !
voici son "OEUF" électrique en 1943:
de la même époque une JOURDAIN-MONNERET / l'AUTELEC:
a+ pour la suite !
JP de NIMES
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Bonsoir !
Et maintenant quelques images de véhicule électriques utilitaires et Poids-lourds:
A tout seigneur , tout honneur : KRIEGER a aussi fait dans le véhicule lourd :
Début 1900:
Et pendant la Seconde Guerre Mondiale ....
sur chassis LA LICORNE (j'en suis fier puisque je fais partie des "Amis de La LICORNE"
association qui entretien la mémoire de cette Marque )
Et celle de notre ami GV-Créations (elle fait l'objet d'un reportage dans le 1er n° de Camion rétro (Mai 2010))
avec sa carrosserie en bois et chassis Licorne :
et après-guerre (1947) sur base Chenard & Walker:
a+
JP de NIMES
Et maintenant quelques images de véhicule électriques utilitaires et Poids-lourds:
A tout seigneur , tout honneur : KRIEGER a aussi fait dans le véhicule lourd :
Début 1900:
Et pendant la Seconde Guerre Mondiale ....
sur chassis LA LICORNE (j'en suis fier puisque je fais partie des "Amis de La LICORNE"
association qui entretien la mémoire de cette Marque )
Et celle de notre ami GV-Créations (elle fait l'objet d'un reportage dans le 1er n° de Camion rétro (Mai 2010))
avec sa carrosserie en bois et chassis Licorne :
et après-guerre (1947) sur base Chenard & Walker:
a+
JP de NIMES
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Merci !
La SUITE :
Un Constructeur Lyonnais important : SOVEL
(texte trouvé sur le net)
Fondée en 1925 à Saint-Etienne, la Sovel (Société de Véhicules Electriques) veut tout d'abord répondre au besoin qui se fait déjà sentir d'un système moderne de collecte et d'élimination des ordure ménagères, tout en bénéficiant de l'électricité produite par les usines d'incinération (parallèlement à la vapeur pour le chauffage urbain). Elle acquiert bientôt une grande maîtrise dans la fabrication de bennes à ordures tasseuses. Ceci ne l'empêche nullement, après s'être installée à Villeurbanne (près de Berliet, qui produit déjà de petits corbillards électriques), puis à Ivry, de se lancer dans la fabrication de camions et de fourgons de livraison pour les grandes administrations : Postes, SNCF, Aéroport de Paris, ou pour les entreprises : Chocolat Poulain, Entrepôts frigorifiques, etc. Pendant la guerre, elle s'intéressera à l'électrification de matériels thermiques comme la camionnette électrique Chenard et Walker.
Des Vosges uniques et électriques
A partir des années 70, les progrès du moteur diesel, sa souplesse et son autonomie (face au prix élevé des contraignantes stations de recharge) viennent de nouveau fortement concurrencer la traction électrique. Chez Sovel, on essaie bien de résister en modernisant régulièrement le matériel. Après avoir utilisé la cabine Unic Vosges, on réalise même des châssis de bus très modernes et écologiques carrossés par Currus, tout en en se rapprochant de Saviem, mais la demande ne suit pas et la firme doit cesser ses activités à la fin de 1977.
Egalement créé en 1925, mais cette fois à Paris et par Alsthom, Vetra (Véhicules et Tracteurs électriques) commence d'abord à construire des camions et des électrobus sur la base de Renault 3 tonnes.
Et la benne fut...
Intéressée par le marché des bennes à ordures ménagères, la firme passe ensuite un accord avec Laffly pour équiper en électrique des châssis de 5 et 7 tonnes qui recevront les fameuses bennes automatiques, licence Rey. D'une longévité incroyable, ces véhicules, longtemps utilisés par la SITA, seront régulièrement reconditionnés, recevant même une cabine Carrier. .
Par la suite, Vetra se tourne plus particulièrement vers les trolleybus, dont elle deviendra, avec son populaire CS-60, le plus grand constructeur français.
Se rapprochant de Berliet, elle étudie alors le châssis TT (fonctionnant sur trolley) pour le travail en mines et carrières,
puis s'oriente définivement vers Berliet pour réaliser des versions électriques de ses châssis, présentant toutefois dans les années 50 deux véhicules de grande capacité, le VA3 (trois essieux, de cent à cent vingt places) et le VA4, un articulé long de 18,60 m pour deux cents places. Ils ne connaissent guère de succès.
Enfin, subissant les mêmes problèmes de désintéressement des utilisateurs (à une époque où la lute contre la pollution n'existe pas encore), la société ferme ses portes en 1966.
Gilbert Lecat, Les Routiers 741, février 1998
Quelques photos de cette Marque :
A+
JP de NIMES
La SUITE :
Un Constructeur Lyonnais important : SOVEL
(texte trouvé sur le net)
Fondée en 1925 à Saint-Etienne, la Sovel (Société de Véhicules Electriques) veut tout d'abord répondre au besoin qui se fait déjà sentir d'un système moderne de collecte et d'élimination des ordure ménagères, tout en bénéficiant de l'électricité produite par les usines d'incinération (parallèlement à la vapeur pour le chauffage urbain). Elle acquiert bientôt une grande maîtrise dans la fabrication de bennes à ordures tasseuses. Ceci ne l'empêche nullement, après s'être installée à Villeurbanne (près de Berliet, qui produit déjà de petits corbillards électriques), puis à Ivry, de se lancer dans la fabrication de camions et de fourgons de livraison pour les grandes administrations : Postes, SNCF, Aéroport de Paris, ou pour les entreprises : Chocolat Poulain, Entrepôts frigorifiques, etc. Pendant la guerre, elle s'intéressera à l'électrification de matériels thermiques comme la camionnette électrique Chenard et Walker.
Des Vosges uniques et électriques
A partir des années 70, les progrès du moteur diesel, sa souplesse et son autonomie (face au prix élevé des contraignantes stations de recharge) viennent de nouveau fortement concurrencer la traction électrique. Chez Sovel, on essaie bien de résister en modernisant régulièrement le matériel. Après avoir utilisé la cabine Unic Vosges, on réalise même des châssis de bus très modernes et écologiques carrossés par Currus, tout en en se rapprochant de Saviem, mais la demande ne suit pas et la firme doit cesser ses activités à la fin de 1977.
Egalement créé en 1925, mais cette fois à Paris et par Alsthom, Vetra (Véhicules et Tracteurs électriques) commence d'abord à construire des camions et des électrobus sur la base de Renault 3 tonnes.
Et la benne fut...
Intéressée par le marché des bennes à ordures ménagères, la firme passe ensuite un accord avec Laffly pour équiper en électrique des châssis de 5 et 7 tonnes qui recevront les fameuses bennes automatiques, licence Rey. D'une longévité incroyable, ces véhicules, longtemps utilisés par la SITA, seront régulièrement reconditionnés, recevant même une cabine Carrier. .
Par la suite, Vetra se tourne plus particulièrement vers les trolleybus, dont elle deviendra, avec son populaire CS-60, le plus grand constructeur français.
Se rapprochant de Berliet, elle étudie alors le châssis TT (fonctionnant sur trolley) pour le travail en mines et carrières,
puis s'oriente définivement vers Berliet pour réaliser des versions électriques de ses châssis, présentant toutefois dans les années 50 deux véhicules de grande capacité, le VA3 (trois essieux, de cent à cent vingt places) et le VA4, un articulé long de 18,60 m pour deux cents places. Ils ne connaissent guère de succès.
Enfin, subissant les mêmes problèmes de désintéressement des utilisateurs (à une époque où la lute contre la pollution n'existe pas encore), la société ferme ses portes en 1966.
Gilbert Lecat, Les Routiers 741, février 1998
Quelques photos de cette Marque :
A+
JP de NIMES
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LA Mildé-Krieger exposée à Rétromobile fait partie de la collection de Mobil-éco.PIJO3007 a écrit :Quant à Krieger ,il faudrait faire un sujet spécialement pour ce constructeur!
puisque nous le retrouvons au début du siècle dernier :
....puis dans les années 20:
....et ,enfin, pendant la seconde guerre mondiale :
avec cette LICORNE (coach 164) électrifiée
l'un des derniers exemplaires existants a été présentée à Rétromobile:
Pour ceux que cela intéresse, Les portes du conservatoire seront ouvertes dimanche 16 mai...
L'electricité, c'est LA solution.
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- Localisation : FR-30-NIMES (pas de VE)
Bonjour à tous !
Je suis membre des "Amis de La Licorne" et à ce titre je suis fier que cette Marque disparue
ait pu ,dans son histoire, être un constructeur de VE par l'intermédiaire du plus important
dans ce domaine (Mildé-Krieger)mais aussi par AERIC
Voici la copie de l'article paru sur cette auto (ci dessus présentée à Rétromobile)
dans notre bulletin d'il y a déjà plus de 10 ans:
elle a aussi fait l'objet d'un reportage dans LVA du 14 Octobre 1999 (n° 908)
Etant par ailleurs membre de l'Aventure Peugeot ,je m'intéresse aussi aux VE de cette Marque:
voici 2 prototypes des années 70 :
A+
JP de NIMES
Je suis membre des "Amis de La Licorne" et à ce titre je suis fier que cette Marque disparue
ait pu ,dans son histoire, être un constructeur de VE par l'intermédiaire du plus important
dans ce domaine (Mildé-Krieger)mais aussi par AERIC
Voici la copie de l'article paru sur cette auto (ci dessus présentée à Rétromobile)
dans notre bulletin d'il y a déjà plus de 10 ans:
elle a aussi fait l'objet d'un reportage dans LVA du 14 Octobre 1999 (n° 908)
Etant par ailleurs membre de l'Aventure Peugeot ,je m'intéresse aussi aux VE de cette Marque:
voici 2 prototypes des années 70 :
A+
JP de NIMES
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