The Suntrip des vélos solaires
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The Suntrip des vélos solaires
The Suntrip ou les vélos solaires.
Le premier arrivé (hier), Raf Van Hulle, au terme de 7500 km parcourus en 38 jours entre le mont blanc et astana (capitale du kazakstan à l'est) a donc parcouru en moyenne près de 200 km par jour en autonomie énergétique complète, utilisant des panneaux solaires à l'avant du vélo ainsi que sur une remorque qui propulsaient le vélo tout en rechargeant également la batterie.
Cet architecte et fabricant de vélos solaires en Belgique (de 2000 à 3000 euros), également triathlète et végétarien a accompli une performance qui me parait remarquable, et il est suivi, à une journée, par un autre triathlète (Jorge Molta), belge également, sur un trike solaire et donc arrivé aujourd'hui dans la capitale du kazakstan.
Mais la performance la plus étonnante relève des autres concurrents qui ne sont pas tous des sportifs de haut niveau et qui ne sont finalement par très loin derrière entre la mer noire et la mer caspienne, sur des véhicules qui en apparence sont bricolés de bric et de broc (mais heureusement ce ne sont que les apparences, il y a pas mal de "high tech" en réalité)..
http://Thesuntrip.com
Un seul regret : Que le véhicule qui me paraissait le mieux adapté (le vélomobile caréné avec le panneau horizontal au-dessus de Josselin bien connu sur les forums de cyclurba et de vélorizontal, peut-être aussi sur celui-ci, ait été sanctionné par deux jours d'arrêt dès le début pour une obscure question de limitation d'assistance à 45 km/h, ce qui l'a conduit à renoncer à poursuivre.
Qui n'a jamais rêvé de remplacer un jour sur les véhicules électriques les batteries par des panneaux photovoltaïques et toujours démontré par a+b que c'était impossible ?
Certes ils ont pédalé (mais pas toujours et pas toujours très fort) et qui ferait la même chose sans les panneaux solaires ?
Et qui fera un jour la même chose avec les panneaux photovoltaïques ... et sans les batteries ?
Les concurrents emportaient un chargeur secteur de secours mais plombé et dont ils ne se servaient pas, en principe toutes les recharges étaient solaires avec les panneaux remorqués par le vélo.
De belles images sur le site http://Thesuntrip.com, mais long à télécharger, du moins pour mon vieil ordinateur
Le premier arrivé (hier), Raf Van Hulle, au terme de 7500 km parcourus en 38 jours entre le mont blanc et astana (capitale du kazakstan à l'est) a donc parcouru en moyenne près de 200 km par jour en autonomie énergétique complète, utilisant des panneaux solaires à l'avant du vélo ainsi que sur une remorque qui propulsaient le vélo tout en rechargeant également la batterie.
Cet architecte et fabricant de vélos solaires en Belgique (de 2000 à 3000 euros), également triathlète et végétarien a accompli une performance qui me parait remarquable, et il est suivi, à une journée, par un autre triathlète (Jorge Molta), belge également, sur un trike solaire et donc arrivé aujourd'hui dans la capitale du kazakstan.
Mais la performance la plus étonnante relève des autres concurrents qui ne sont pas tous des sportifs de haut niveau et qui ne sont finalement par très loin derrière entre la mer noire et la mer caspienne, sur des véhicules qui en apparence sont bricolés de bric et de broc (mais heureusement ce ne sont que les apparences, il y a pas mal de "high tech" en réalité)..
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Un seul regret : Que le véhicule qui me paraissait le mieux adapté (le vélomobile caréné avec le panneau horizontal au-dessus de Josselin bien connu sur les forums de cyclurba et de vélorizontal, peut-être aussi sur celui-ci, ait été sanctionné par deux jours d'arrêt dès le début pour une obscure question de limitation d'assistance à 45 km/h, ce qui l'a conduit à renoncer à poursuivre.
Qui n'a jamais rêvé de remplacer un jour sur les véhicules électriques les batteries par des panneaux photovoltaïques et toujours démontré par a+b que c'était impossible ?
Certes ils ont pédalé (mais pas toujours et pas toujours très fort) et qui ferait la même chose sans les panneaux solaires ?
Et qui fera un jour la même chose avec les panneaux photovoltaïques ... et sans les batteries ?
Les concurrents emportaient un chargeur secteur de secours mais plombé et dont ils ne se servaient pas, en principe toutes les recharges étaient solaires avec les panneaux remorqués par le vélo.
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Oui ça donne envie ces images.
si je me lançais je prendrais des panneaux solaires plus petits et en plus grand nombre pour épouser un peu mieux la forme du vélo
impressionnant, l'incendie d'un pack batterie... défaillance ou absence de BMS?
si je me lançais je prendrais des panneaux solaires plus petits et en plus grand nombre pour épouser un peu mieux la forme du vélo
impressionnant, l'incendie d'un pack batterie... défaillance ou absence de BMS?
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Coup de couteau dans la batterie qui n'était pas protégée par une coque rigide, et en changeant le pneu de la remorque le couteau a dérapé et la batterie s'est enflamée aussitôt et le seau d'eau n'a pas permis de l'éteindre.
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Jamais d'eau sur du lithiumfilomat a écrit :Coup de couteau dans la batterie qui n'était pas protégée par une coque rigide, et en changeant le pneu de la remorque le couteau a dérapé et la batterie s'est enflammée aussitôt et le seau d'eau n'a pas permis de l'éteindre.
Du sable, ou un extincteur CO2.
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Re: The Suntrip des vélos solaires
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Quand on n'a que ça !romelec a écrit :Un couteau pour changer un pneu
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Comme pour tout feu d'origine électrique d'ailleurs.Rémy a écrit :Jamais d'eau sur du lithium
Du sable, ou un extincteur CO2.
Remdo
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Il s'appelle McGiver?lbm055 a écrit :Quand on n'a que ça !romelec a écrit :Un couteau pour changer un pneu
Bizarre.Quand on part pour une grosse expédition on emporte un peu d'outillage. Et le nécessaire de réparation des crevaisons fait quand même partie du basic des basiques...
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Quest (bolide à pédales sans moteur, 3 roues)
Zero S de 2014
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anciennement: Mavic Mini (4 rotors, 249 grammes) parti en Ukraine, C-Zero (3,5 années, 50kkm)
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Re: The Suntrip des vélos solaires
On fait aussi des choix. Peut-être a-t-il estimé qu'avec son couteau multi-fonction il pourrait tout faire !triphase a écrit :Quand on part pour une grosse expédition on emporte un peu d'outillage. Et le nécessaire de réparation des crevaisons fait quand même partie du basic des basiques...
Le vainqueur a déclaré qu'il ne participerait pas à une prochaine édition, car ça lui a paru trop dur.
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Il ne me viendrait pas à l'idée de partir sans avoir au minimum de quoi réparer une crevaison et un dérive chaîne, mais bon...
En tout cas ces quelques photos donnent envie de repartir... mais il faudra attendre quelques mois
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Il est reparti en chargeant tout sur le vélo sans remorque et accompagné par un autre concurrent qui n'avait encore rien cassé et qui a toujours l'assistance solaire. Il compte sur la remorque et la batterie du vainqueur qu'il espère trouver en arrivant à la frontière entre la russie et le kazakstan.
Après le seau d'eau le sable et les pelles ont eu raison de ce qui n'avait pas encore brûlé.
Les images et les détails sont sur le site Thesuntrip.com ou sur celui de cyclurba http://cyclurba.fr/forum/249515/suntrip ... #msg249515
Après le seau d'eau le sable et les pelles ont eu raison de ce qui n'avait pas encore brûlé.
Les images et les détails sont sur le site Thesuntrip.com ou sur celui de cyclurba http://cyclurba.fr/forum/249515/suntrip ... #msg249515
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Re: The Suntrip des vélos solaires
D'après le compte rendu sur le forum cyclurba, le couteau devait servir à "tailler" un peu dans la carrosserie de la remorque pour pouvoir mettre un pneu plus gros en dépannage.
Finalement tout est logique... sauf l'eau sur le lithium en feu...
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Le "fire bike" (celui qui avait "planté" sa batterie avec son couteau et l'avait vu brûler aussitôt) est finalement arrivé : 1000 km sans assistance électrique puis les 2500 km restants en rechargeant la batterie prétée par le vainqueur sur le secteur dans les auberges puisqu'il n'avait plus de panneau solaire.
Une bonne batterie, un bon moteur et ça peut aller loin un vélo électrique !
Aucun ennui mécanique pour le tandem "couché (assis)" arrivé 5ième : aucune crevaison en 7500 km et les pneus sont parait-il encore bons pour 5000 km de plus ... Si ma mémoire est bonne ils ont pourtant dû faire un échange de batteries peu après le départ... Il semble que le tandem ne soit pas très maniable entre les ornières de la piste et les bourrasques de la tempête et des orages : Sur un deux roues il n'y a que celui qui tient le guidon qui sait de quel coté on se penche et en plus le toit de panneaux photovoltaïques et le poids de ceux de la remorque ne devaient pas participer beaucoup à la stabilisation sous l'effet du vent !
Pour faire 200 km par jour ils sont obligés de pédaler en plus de l'appoint solaire, ceux qui ont utilisé la recharge secteur au lieu du solaire ont fait des parcours à peu près similaires et sont arrivés ensemble (le concurrent kazak est arrivé avec le tandem).
Les leçons à tirer : Cela ne coûterait pas cher d'emporter un contrôleur de rechange plutôt que de l'attendre plusieurs jours en cas de panne et puis il faudrait que l'organisation prévoie un accompagnement en voiture pour la traversée des tunnels routiers trop dangereux parait-il en Turquie, il faut prévoir aussi l'échange de quelques rayons pour la roue qui est motorisée, les moteurs utilisés en majorité étaient des moteurs roue sans engrenages,les moteurs qui entrainent le pédalier sont probablement moins fiables sur une aussi longue distance avec en plus l'effort qu'ils imposent à la chaine et aux pignons de la roue.
Plusieurs des participants sont également fabricants de vélos assistés et avec les articles de presse régionaux cela pourrait donner des idées et des envies d'utiliser ce genre de véhicules sur nos routes... Surtout qu'il reste certainement encore beaucoup de progrès à faire en tirant parti des enseignements de cette première compétition (pardon de cette première "aventure").
Je ne m'attendais pas à une telle réussite avec des véhicules d'apparence aussi hétéroclites et "bricolés" ... Bravo et chapeau !
Une bonne batterie, un bon moteur et ça peut aller loin un vélo électrique !
Aucun ennui mécanique pour le tandem "couché (assis)" arrivé 5ième : aucune crevaison en 7500 km et les pneus sont parait-il encore bons pour 5000 km de plus ... Si ma mémoire est bonne ils ont pourtant dû faire un échange de batteries peu après le départ... Il semble que le tandem ne soit pas très maniable entre les ornières de la piste et les bourrasques de la tempête et des orages : Sur un deux roues il n'y a que celui qui tient le guidon qui sait de quel coté on se penche et en plus le toit de panneaux photovoltaïques et le poids de ceux de la remorque ne devaient pas participer beaucoup à la stabilisation sous l'effet du vent !
Pour faire 200 km par jour ils sont obligés de pédaler en plus de l'appoint solaire, ceux qui ont utilisé la recharge secteur au lieu du solaire ont fait des parcours à peu près similaires et sont arrivés ensemble (le concurrent kazak est arrivé avec le tandem).
Les leçons à tirer : Cela ne coûterait pas cher d'emporter un contrôleur de rechange plutôt que de l'attendre plusieurs jours en cas de panne et puis il faudrait que l'organisation prévoie un accompagnement en voiture pour la traversée des tunnels routiers trop dangereux parait-il en Turquie, il faut prévoir aussi l'échange de quelques rayons pour la roue qui est motorisée, les moteurs utilisés en majorité étaient des moteurs roue sans engrenages,les moteurs qui entrainent le pédalier sont probablement moins fiables sur une aussi longue distance avec en plus l'effort qu'ils imposent à la chaine et aux pignons de la roue.
Plusieurs des participants sont également fabricants de vélos assistés et avec les articles de presse régionaux cela pourrait donner des idées et des envies d'utiliser ce genre de véhicules sur nos routes... Surtout qu'il reste certainement encore beaucoup de progrès à faire en tirant parti des enseignements de cette première compétition (pardon de cette première "aventure").
Je ne m'attendais pas à une telle réussite avec des véhicules d'apparence aussi hétéroclites et "bricolés" ... Bravo et chapeau !
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Re: The Suntrip des vélos solaires
Il y a déjà un début de polémique pour savoir si la puissance des panneaux photovoltaïques est suffisante pour faire avancer le vélo sans pédaler : Sur certaines vidéos on a un peu l'impression qu'ils se mettent à "mouliner" quand la caméra est présente, et aussi cette citation : " Nous roulions nord le matin, ce qui signifie que j’avais de l’assistance dès 7h30. Un petit vent de dos nous poussait. "
En théorie le m² de panneaux (qui pèse entre 5 et 10 kg avec son armature) reçoit 1000 watts du soleil et en restitue environ 10% compte tenu des différentes pertes, donc 100 watts.
Avec une masse totale de 150 kg et un coefficient de roulement de 1% (et sans tenir compte de la résistance de l'air), ces 100 watts par m² donneraient une vitesse d'équilibre de 100/150/9.81*100= 7 m/s soit 24 km/h.
Pour un vélo droit la résistance de l'air 0.24*7*7=12 N serait à ajouter à la résistance du sol 150*9.81/100 = 15 N
C'est à dire qu'avec 2 m² de panneaux photovoltaïques on pourrait rouler sans pédaler jusqu'à 24 km/h environ (et enore plus vite pour les vélos couchés qui ont une résistance de l'air plus faible).
A moins que ma sénilité avancée ne me joue encore des tours avec les règles de trois !
Il y a tout de même un effort physique à fournir en accélération et en montée mais une fois lancé sur une bonne route plate et sans vent de face ce sont tout de même les panneaux solaires (quand il y a du soleil) qui fournissent le plus gros du travail, du moins en théorie.
C'est probablement l'entrainement des jours précédents (pédaler avec assistance tous les jours pendant un mois) qui a permis à celui dont la batterie à brulé de poursuivre pendant 1000 km sans assistance (mais vélo délesté, accompagné par l'autre vélo qui avait conservé l'assistance, et en profitant du vent de dos) avant de récupérer une batterie.
Les panneaux solaires permettent sans doute de réduire le poids et le coût de la batterie : 100 watts pendant 10 heures correspondent à 1 kwh ... mais 100 watts pendant deux heures (en hiver dans nos contrées) ne correspondent qu'à 200 wh, guère mieux qu'une petite batterie de vélo électrique standard (24 volts 8 ah)... dont le panneau permettrait donc cependant de doubler l'autonomie.
Mais un panneau solaire de 1 m² est probablement plus lourd et surtout plus encombrant qu'une petite batterie lithium de 24 volts et 8 Ampèreheures supplémentaire.
Le coût du wh est à peu près le même pour la batterie que pour le panneau solaire, mais la fiabilité du panneau est peut-être meilleure que celle de la batterie (il ne s'enflamme pas sous les coups du démonte-pneus !).
Si nous voyons un jour des panneaux solaires sur nos routes ce sera peut-être au mois de juin les jours de soleil, mais guère plus ... à moins peut-être de vélomobiles carénés ?
Si le panneau dure plus de vingt ans et la batterie lithium moins de deux ans (comme les miennes !), alors "à coût égal" l'avantage revient au panneau !
En théorie le m² de panneaux (qui pèse entre 5 et 10 kg avec son armature) reçoit 1000 watts du soleil et en restitue environ 10% compte tenu des différentes pertes, donc 100 watts.
Avec une masse totale de 150 kg et un coefficient de roulement de 1% (et sans tenir compte de la résistance de l'air), ces 100 watts par m² donneraient une vitesse d'équilibre de 100/150/9.81*100= 7 m/s soit 24 km/h.
Pour un vélo droit la résistance de l'air 0.24*7*7=12 N serait à ajouter à la résistance du sol 150*9.81/100 = 15 N
C'est à dire qu'avec 2 m² de panneaux photovoltaïques on pourrait rouler sans pédaler jusqu'à 24 km/h environ (et enore plus vite pour les vélos couchés qui ont une résistance de l'air plus faible).
A moins que ma sénilité avancée ne me joue encore des tours avec les règles de trois !
Il y a tout de même un effort physique à fournir en accélération et en montée mais une fois lancé sur une bonne route plate et sans vent de face ce sont tout de même les panneaux solaires (quand il y a du soleil) qui fournissent le plus gros du travail, du moins en théorie.
C'est probablement l'entrainement des jours précédents (pédaler avec assistance tous les jours pendant un mois) qui a permis à celui dont la batterie à brulé de poursuivre pendant 1000 km sans assistance (mais vélo délesté, accompagné par l'autre vélo qui avait conservé l'assistance, et en profitant du vent de dos) avant de récupérer une batterie.
Les panneaux solaires permettent sans doute de réduire le poids et le coût de la batterie : 100 watts pendant 10 heures correspondent à 1 kwh ... mais 100 watts pendant deux heures (en hiver dans nos contrées) ne correspondent qu'à 200 wh, guère mieux qu'une petite batterie de vélo électrique standard (24 volts 8 ah)... dont le panneau permettrait donc cependant de doubler l'autonomie.
Mais un panneau solaire de 1 m² est probablement plus lourd et surtout plus encombrant qu'une petite batterie lithium de 24 volts et 8 Ampèreheures supplémentaire.
Le coût du wh est à peu près le même pour la batterie que pour le panneau solaire, mais la fiabilité du panneau est peut-être meilleure que celle de la batterie (il ne s'enflamme pas sous les coups du démonte-pneus !).
Si nous voyons un jour des panneaux solaires sur nos routes ce sera peut-être au mois de juin les jours de soleil, mais guère plus ... à moins peut-être de vélomobiles carénés ?
Si le panneau dure plus de vingt ans et la batterie lithium moins de deux ans (comme les miennes !), alors "à coût égal" l'avantage revient au panneau !
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Re: The Suntrip des vélos solaires
je pense que pour une utilisation urbaine, on laisse tomber le panneau pour des raisons d'encombrement
Pour une utilisation route, je verrais bien 4 petits panneaux aux emplacements des sacoches + 2 panneaux moyens en "tente canadienne" sur la remorque à bagages. Avec l'électronique qu'il faut pour que ça fonctionne au mieux quand certains sont à l'ombre.
Pour une utilisation route, je verrais bien 4 petits panneaux aux emplacements des sacoches + 2 panneaux moyens en "tente canadienne" sur la remorque à bagages. Avec l'électronique qu'il faut pour que ça fonctionne au mieux quand certains sont à l'ombre.