De Gaulle n'avait pas parlé de bœufs (animaux qui évoquent surtout la force), mais de "veaux" (animaux jeunes et dociles).
“Les français sont des veaux.”
Citation exacte: Dans son livre "De Gaulle, mon père ", Philippe de Gaulle indique que le général à prononcé ces mots en 1940 à Londres, après la signature de l'armistice entre la France de Pétain et l'Allemagne. Le général aurait dit : "Ce sont des veaux. Ils sont bons pour le massacre. Ils n'ont que ce qu'ils méritent."
Je remarque avec plaisir qu'entre bœufs, veaux et moutons, vous déplorez tous d'envoyer à l'abattoir des innocents fussent-ils dociles et limités en terme de conscience. La solution: se rebeller contre l'abattoir. Et déjà ne pas le cautionner. Épargner les animaux. Devenir végan. Nous avons le pouvoir de ne pas être les bourreaux que nous dénonçons... De ne pas perpétuer l'injustice.
Et pour les autres formes d'oppression (notamment fiscale et routière), c'est une forme d'esclavage maquillé. On peut y répondre par l'anarchie, la désobéissance, la manifestation pacifique, l'astuce, la non consommation, la grève générale ou même l'expatriation.
Si 20 000 000 de français (les plus productifs, ceux qui bossent, ceux qui se lèvent tôt, ceux qui payent un max d'impôts, ceux qui font tourner la France, menaçaient de s'expatrier, il est certain que le gouvernement réagirait. Car ce ne sont pas les parasites de toutes sortes (banquiers, planqués, politiciens, assistés professionnels alcooliques ou drogués, migrants/immigrés sans travail, bobo oisifs, rentiers d'état) qui feraient tourner la boutique.
La vraie valeur est créée par la contribution combinée du prolétariat, de l'entrepreneuriat et du "capitalariat" (ceux qui prennent un risque et engagent réellement leur argent).
On sait jamais, sur un malentendu, ça peut marcher.