Cliché grossier ! Ces chevaux de sang ne bouffent pas un poil d'avoine (sinon, tu ne les tiendrais plus !) : ils tournent à l'herbe, au foin et, éventuellement, à un chouïa de luzerne. Produites sur nos pâtures, of course.triphase a écrit : ↑mar. 09 10 , 2018 19:20Le cheval mange beaucoup (avoine produite par une agriculture fort pétrolière), en proportion du transport qu'il réalise. Par ailleurs, qui dit cheval dit grosse remorque et gros katkat diesel pour la traîner. Enfin, pas toujours, mais au moins sur la photo.
Le Land Rover et le van ne servent qu'à les amener (bien frais) sur des terrains de concours situés à 50 km. En situation dégradée, plus de concours, plus de fuel pour le Def (qui peut néanmoins tourner à l'HVP, comme le tracteur, car il n'est pas common rail et son ECU adapte le débit des injecteurs-pompes à la qualité du carburant) et utilisation des bourrins pour descendre au village par les chemins d'exploitation (que je te déconseille d'emprunter en vélo, fût-il TT)
Non, c'est seulement parce que le "rouge" (euh, le GNR, gazole non routier) est moins taxé et qu'on a persuadé les agris qu'il fallait gérer 120 Ha pour tirer un SMIC (forcément, vu le prix du matos et des intrants). Outre le débardage, le cheval fait un retour en force dans les vignes et le maraichage chez les nouveaux installés qui privilégient l'économie de moyens à l'économie d'échelle !
Euh, je crois que tu n'as pas tout compris : mon but est clairement de ne plus mettre les pieds sabots en centre-ville !