Bonjour Costet,costet a écrit :Excusez moi de recentrer le débat, mais il y a quand même un lièvre qui est levé au 2ème message de ce post : en montagne, il semblerait que la Leaf manque de frein moteur en descente : si ça pue la plaquette, c'est pas terrible!
Je me dois donc à nouveaux de faire "l'ingénieur de canapé" sans surtout me vexer devant un Monsieur qui s'étonne de ma réaction...
Faut quand même que je réponde aux autres qui n'ont pas à pâtir d'une absence de discussion, laquelle peut être très intéressante pour peu qu'il y ait du respect.
Donc ce problème, je l'ai soulevé plusieurs fois sur le forum, et le fait d'avoir un tampon Nicad ou NiMH résoud le problème. Vous pourrez lire des détails chiffrés dans la 11ème synergie du concept CATHI, et en complément directement dans ce commentaire.
C'est qu'avec ma triple hybridation (et en réalité uniquement la double LiFePO4/Nicad), je fais hebdomadairement plusieurs dénivelés net de 750 m en aller/retour. Je pense qu'avec une Leaf, j'userais de la plaquette, mais je resterais quand même à peu près en sécurité car la route est vallonée. Jusque que le chauffage atmosphérique à l'énergie nucléaire par l'intermédiaire d'une roue, c'est pas très dans la philosophie du VE... enfin de ce que j'en pense
Par contre sur un col des Alpes, où les freins ne respirent jamais, je ne me fierais pas de trop sur un VE à régénération bridée, voire carrément absente ! Les supercaps ne stockant pas encore grand chose, elles ne répondent que mal en comparaison d'un tampon énergétique Nicad ou NiMH qui a l'avantage de résoudre bien d'autres problématiques
Avec la gestion SAGEM / PSA (car il faut rendre hommage à SAGEM qui a créé le boîtier de puissance), je n'appuie JAMAIS, je dis bien JAMAIS sur le frein malgré 750 m de dénivelé net en descente.